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Endoscopie

Utilisation des prothèses coliques en intention pré-opératoire dans la prise en charge des cancers en occlusion : étude rétrospective multicentrique du pronostic carcinologique.

2014

V Quentin, P Pequin, B Bour, A Pélaquier, AJ Rémy, B Denis, A Boruchowicz, C Locher, D Bernardini, R Faroux, F Heluwaert, G Macaigne, D Grasset, J Privat, JP Arpurt, L Falize, M Kaassis, RL Vitte, S Nahon, R Arotcarena

Endoscopie –  2014-04-09 – CO –

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Nous avons récemment communiqué sur la pratique de pose de prothèse colique dans les centres hospitaliers généraux (CHG) en pathologie tumorale, toutes indications confondues (1). L’activité des hôpitaux généraux dans cette étude semblait concordante aux centres référents en termes d’indications et de résultats. Actuellement, la controverse repose sur l’utilité de cette technique en pré-opératoire selon la technique dite de « bridge to surgery » en terme de pronostic carcinologique et de résultats chirurgicaux (2-4).
Il est proposé une étude rétrospective descriptive nationale au sein de 20 centres de l’association nationale des hépato-gastroentérologues des hôpitaux généraux (ANGH) centrée sur les patients ayant été traités dans cette indication afin d’observer leur évolution à long terme.
OBJECTIF PRINCIPAL : Taux de survie sans récidive carcinologique à 3 ans de la pose de prothèse colique
OBJECTIFS SECONDAIRES : Description du taux de complications et de mortalité en post opératoire(J 30), Evaluation carcinologique à 3 et 5 ans, Evaluation des pratiques de pose de prothèses coliques en pré opératoire de tumeurs colo-rectales dans les CHG par une étude rétrospective descriptive simple (comparaison des résultats à ceux de la littérature).
PATIENTS
Seront inclus dans un premier temps tous les patients ayant eu un code T2A de prothèse colique entre le 01/01/2008 et le 31/12/2010 afin d’étudier la population globale. Puis seront isolés les patients traités en intention pré-opératoire curative, ce groupe constituera le cœur de l’étude. Cette intention curative regroupant les patients non métastatiques mais aussi les patients dont les métastases sont considérés comme secondairement résécables. Sont exclus les patients dont l’indication est une tumeur extra colique ou une compression sur carcinose.
METHODES
Le recueil des données s’effectuera dans chaque centre par chaque investigateur via un tableur Excel. L’investigateur principal centralisera l’ensemble du recueil pour analyse statistique. Les items étudiés seront : mois et année de naissance, âge au diagnostic, sexe, année de pose, syndrome occlusif, métastases, intention palliative/bridge, localisation tumorale, récidive anastomotique, longueur prothèse, marque, problème technique, complication, délai complication, succès clinique, nombre de jours d’hospitalisation, délai décès, traitement post prothèse, chirurgie de la tumeur primitive, délai, stomie définitive, chirurgie en un temps, complication J30, durée hospitalisation, stade TNM, stade UICC, traitement post chirurgical, évolutivité néoplasique, délai évolutivité, délai survie/décès, vivant au 31/12/2013. Une déclaration au CCTIRS est en cours, puis une déclaration à la CNIL sera réalisée.
RESULTATS
Les résultats ne sont actuellement pas disponibles, seuls 3 centres sur les 20 ayant transmis leur tableur à la date de soumission des résumés pour le congrès de l’ANGH de Béziers 2014. Les principaux résultats disponibles fin mai seront transmis au conseil scientifique de Toulon.
REFERENCES
1.Quentin V et al. Utilisation des prothèses coliques en pathologie tumorale dans les hôpitaux généraux. Etude rétrospective dans 4 centres en 2009-2010. JFHOD 2012.
2.Van Hooft JE et al. Colonic stenting versus emergency surgery for acute left-sided malignant colonic obstruction: a multicenter randomized trial. Lancet Oncol;2011;12:344-52.
3.Tan CJ et al. Systematic review and meta analysis of randomized clinical trials of self-expanding metallic stents as a bridge to surgery versus emergency surgery for malignant left sided large bowel obstruction. Br J Surg 2012;99:469-76.
4.Sagar J. Colorectal stents for the management of malignant colonic obstructions. Cochrane Database Syst Rev 2011;11:CD007378.

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Endoscopie

Découverte coloscopique fortuite d’une perforation du colon par une électrode de Pace maker, deux ans et demi après sa pose.

2014

Elriz K, Lambaré B. Service d’hépato-gastroentérologie et d’endoscopie digestive, Centre Hospitalier Sud Francilien, Corbeil, Essonnes.

Endoscopie –  2014-03-30 – CC –

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Un homme de 65 ans nous est adressé en mars 2014 pour sa coloscopie de contrôle.
En juin 2012, une masse colique transverse droite est découverte sur un scanner réalisé avant remplacement valvulaire aortique et implantation d’un Pace maker double chambre. La coloscopie avec biopsies confirme en août 2012 un adénocarcinome colique transverse droit. Les suites opératoires de ces interventions cardiovasculaires avaient été simples. Après deux récusations par l’équipe d’anesthésie du fait de ses antécédents cardiovasculaires et de son obésité, et après réunion de concertation pluridisciplinaire, le patient est opéré en septembre 2012 d’une hémicolectomie droite, aux suites également très simples.
Aucun traitement adjuvant n’est décidé compte tenu des antécédents et du statut T3N0 à l’anatomopathologie.
La coloscopie de mars 2014 va retrouver un colon moyennement préparé, une anastomose iléocolique saine et l’absence de récidive néoplasique, mais aussi, 20 cm en aval de l’anastomose, dans le transverse gauche, un fil métallique épais qui perfore la paroi du colon et réalise une boucle de plusieurs centimètres dans la lumière colique. On repère aisément le passage transpariétal du fil par un orifice.
Depuis l’hémicolectomie, le patient va très bien, ne se plaint aucunement de son abdomen.
A la relecture du scanner fait quelques jours avant l’hémicolectomie, on voit très bien le passage transcolique de l’électrode de stimulation.
Plusieurs interrogations persistent à ce jour : l’absence de péritonite ou de sepsis après la pose de pace maker, la non visualisation de l’électrode transfixiante lors de la coloscopie diagnostique en août 2012 et lors de l’hémicolectomie, la conduite à tenir chez ce patient parfaitement asymptomatique et fragile.
Les réponses au congrès de l’ANGH !

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Endoscopie

Fermeture endoscopique par clip de type Ovesco® d’une fistule gastro cutanée secondaire à l’ablation définitive d’une GPE.

2014

V Quentin (1), C Alleaume (2), A Marusu (2), P Zavadil (1). (1) Hépato-gastroentérologie, (2) Oncologie. Hôpital de Saint Brieuc

Endoscopie –  2014-04-06 – CC –

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Mme R. âgée de 74 ans présentait comme antécédent principal un carcinome canalaire infiltrant du sein droit en 1997 (grade II, pT1cNOMORH+) traité par tumorectomie-curage et radiothérapie. Une hormonothérapie par Nolvadex était ensuite prescrite pendant 5 ans. En 2004 apparaissait une lésion du sein gauche correspondant à un carcinome canalaire infiltrant de grade IIpT1c pN1 traité par mastectomie puis hormonothérapie par Arimidex.
En janvier 2014 une dysphagie motivait une hospitalisation en gastroentérologie. La gastroscopie mettait en évidence une sténose du tiers moyen de l’œsophage par compression extrinsèque. Un scanner médiastinal mettait en évidence une volumineuse masse d’allure tumorale, un aspect de métastase rachidienne de D12 et 2 opacités pulmonaires. Il était réalisé une échoendoscopie pour ponction transoesophagienne de l’adénopathie médiastinale qui confirmait une localisation ganglionnaire d’un adénocarcinome mammaire.
L’orientation prise pour le traitement symptomatique de la dysphagie était la pose d’une gastrostomie par voie endoscopique. Le geste était réalisé sans difficulté ni complication immédiate le 23/01. Une ablation de la collerette était réalisée le 10/02 pour fuite liquidienne autour de la sonde et il était mis en place une sonde de remplacement à ballonnet charrière 20. Devant la persistance d’un écoulement péristomial lors de chaque tentative de nutrition entérale la sonde était retirée définitivement le 24/02, la patiente mise à jeun et en nutrition par entérale. Une poche de recueil était mise en place avec un débit quotidien de 30 à 150 ml/jour. Parallèlement une chimiothérapie était débutée le 13/02 par Taxol hebodmadaire-Herceptin avec une bonne tolérance et une bonne efficacité sur la dysphagie. Devant l’absence de tarissement de l’orifice fistuleux la patiente était finalement autorisée à reprendre l’alimentation orale. Trois semaines après l’ablation de la sonde il existait toujours un orifice fistuleux chronique avec un débit identique et des lésions cutanées érythémato-ulcéreuses douloureuses péristomiale.
Il était alors décidé une reprise endoscopique pour tentative de fermeture de cette fistule gastro-cutanée chronique. Le geste était réalisé le 25/03, la technique choisit fut celle de la pose d’un clip de type Ovesco®, complétée par la pose de deux clips hémostatique standards Cook.
A J1 le pansement sec posé en fin de procédure était simplement taché par des sérosités, à J2 il n’existait plus aucun écoulement.
Il n’existe actuellement peu de publications concernant cette technique de prise en charge endoscopique des fistules gastrocutanée post GPE. Ce cas clinique sera largement illustré de photographies per endoscopique et radioscopique et sera l’occasion de faire un bref rappel de la technique de pose des clips Ovesco® ainsi que de ses principales indications et résultats.

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Endoscopie

Coloscopies de surveillance induites par le programme de dépistage organisé du cancer colorectal par Hemoccult : une étude de cohorte en population

2014

B Denis, I Gendre, P Perrin, pour les gastroentérologues du Haut-Rhin et ADECA Alsace

Endoscopie –  2014-04-21 – CO –

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Il a été démontré dans plusieurs pays que la surveillance par coloscopie est souvent excessive chez les personnes à faible risque et insuffisante chez celles à haut risque. Elle n’a jamais été évaluée en France ni dans le cadre d’un programme de dépistage organisé du cancer colorectal (DO CCR).
Buts : évaluer les pratiques de surveillance coloscopique dans le programme Français de DO CCR par Hemoccult.
Méthodes : Etude rétrospective des coloscopies de surveillance (C2) réalisées dans une cohorte de personnes à risque moyen explorées par coloscopie pour Hemoccult positif (C1) entre 2003 et 2005 dans le Haut-Rhin, département pilote : toutes les C1 avec polype(s) ou cancer (C1aN) étaient inclues ainsi qu’un échantillon de 300 C1 normales (C1N). Seules les coloscopies étaient comptabilisées, à l’exclusion des recto-sigmoïdoscopies. Trois sources d’information étaient sollicitées : les patients et les gastroentérologues (GE) systématiquement et les médecins généralistes ponctuellement. La conformité des C2 était évaluée avec une marge de 6 mois par rapport au délai recommandé (HAS 2004).
Résultats : 343 (22%) personnes étaient exclues de l’analyse, dont 95 dont la C2 avait un motif autre que surveillance, 81 décédées, 40 (2.6%) perdues de vue, 95 dont le résultat de la C1 ne permettait pas d’établir une date de surveillance recommandée incontestable et 24 à haut risque. 1203 personnes étaient évaluées (âge moyen 63 ans, 59% d’hommes, 991 avec C1aN et 212 avec C1N) avec un suivi médian de 8.4 ans (1.1 – 9.8). Les coloscopies étaient réalisées par 34 GE, les C2 par le même opérateur qu’en C1 dans 80% des cas. Le taux de C2 conformes variait de 20 à 63% selon le GE, celui de C2 prématurées de 0 à 47% et celui de C2 trop tardives de 11 à 80%. La probabilité cumulée d’avoir eu une C2 à 5 ans était de 88% dans le groupe cancer, 63% dans le groupe adénome à haut risque, 29% dans celui à faible risque et 5% dans celui sans néoplasie (respectivement 63%, 29%, 7% et 1% à 3 ans). La probabilité de ne pas avoir eu de C2 à 8 ans était respectivement de 7%, 23%, 43% et 87% dans les mêmes groupes. 25% des personnes avec lésion néoplasique à la C1 avaient échappé à toute surveillance. Ce taux était significativement supérieur chez les 65-74 ans (31%) que chez les 50-64 ans (20%)(p<0.001), sans différence liée au sexe. Seuls 25 (5%) défauts de surveillance étaient justifiés par une comorbidité intercurrente. Le taux de C2 prématurées était de 25% dans le groupe des 126 C1 avec réserve sur la qualité de la préparation, non significativement différent de celui de 20% du groupe des 1077 sans réserve exprimée (p=0.2).
Conclusions : Une coloscopie anormale sur 4 bénéficie d’une surveillance conforme aux recommandations en vigueur, une sur 4 d’une surveillance excessive, une sur 4 d’une surveillance insuffisante et une sur 4 échappe à toute surveillance. Une coloscopie normale sur 7 bénéficie d’une surveillance excessive. Ce mésusage des coloscopies de surveillance devrait être comptabilisé dans les effets indésirables du programme de DO CCR. Les structures de gestion pourraient contribuer à améliorer le suivi par coloscopie des personnes dépistées dans le programme national de DO CCR.

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Endoscopie

Le rendement des coloscopies du programme national de dépistage du cancer colorectal par Hemoccult s’améliore-t-il avec le temps ?

2014

Bernard Denis, Erik André Sauleau, Laurent Bailly, Vincent Dancourt, Yvon Foll, Christine Piette, Catherine Exbrayat, Hamou Ait Hadad, Isabelle Gendre, Philippe Perrin.
ADECA Alsace, Laboratoire de biostatistiques de Strasbourg, APREMAS 06, ADECA 21, ADEC 29, ADECI 35, ODLC 38, ADMC 91

Endoscopie –  2014-04-21 –  –

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Tout programme d’amélioration de la qualité de la coloscopie doit intégrer l’évaluation du rendement de l’endoscopiste. Nous avons montré dans un précédent travail qu’il existait de grandes variations interendoscopistes de rendement des coloscopies au sein du programme national de dépistage organisé (DO) du cancer colorectal (CCR) par Hemoccult. Nous avions proposé comme standard pour le programme Français des seuils de 35% pour le taux de détection des adénomes (TDA) et de 0.6 pour le nombre moyen d’adénomes (NMA) par coloscopie.
Le but de ce travail était d’évaluer si le rendement des coloscopies s’était amélioré depuis lors après sensibilisation et formation des endoscopistes.
Méthodes : A l’issue du précédent travail les endoscopistes ont été informés de leurs résultats personnels et de ceux de leur département, puis ont été sensibilisés à l’importance d’un rendement optimal et aux moyens de l’améliorer : préparation colique fractionnée, durée et technique d’exploration au retrait, repérage des polypes festonnés, etc… Le rendement des coloscopies réalisées pour Hemoccult positif dans le DO du CCR était ensuite comparé entre les périodes 2003-2010 et 2011-2013 dans les 8 départements pilotes concernés. Quatre indicateurs étaient mesurés : les taux de détection des adénomes et des polypes (TDP) et les nombres moyens d’adénomes et de polypes (NMP) par coloscopie.
Résultats : Le travail est en cours et les résultats seront disponibles au congrès.

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Endoscopie

Kystogastrostomie pancreatique par voie echoendoscopique : experience du Centre Hospitalier d’Avignon à propos de 30 patients.

2013

B Coulibaly, S Bellon, S Bramli, JPArpurt

Endoscopie –  2013-05-15 – CO –

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Les pseudokystes du pancreas sont des collections de liquide pancreatique pur ou plus
ou moins associe à du sang ou de la necrose. Ils surviennent au decours d une pancreatite
aigue necrotique. Selon certains criteres , il doivent etre drainés , le plus souvent par
voie endoscopique. L avénement de l echoendoscopie interventionnelle a facilité leur
prise en charge technique.
Nous rapportons notre experience retrospective depuis 2007 à propos de 30 patients(age
moyen 58 ans, 18 hommes, 12 femmes). Le materiel de drainage a été soit 2 ou 3 protheses
plastiques ¨double queue de cochon¨ soit une prothese metallique diabolo. Le volume moyen
des kystes a été de 8,7 cm. Les taux de succès technique et de complications ont été
respectivement de 97% et 10%.
Ces resultats sont comparables à ceux publiés dans la litterature. Ils incitent à
recommander aux echoendoscopistes des hôpitaux généraux à se former à cette technique.

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Endoscopie

Evaluation des pratiques et qualité de la coloscopie

2013

Bertrand Tissot, Bruno Bour, Alain Blanchi

Endoscopie –  2013-05-17 – CO –

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Une base de données portant sur la qualité de la coloscopie a été mise en place dans le service en réseau en 2008. Nous rapportons l’analyse rétrospective de nos résultats sur 5 ans.

La qualité de la préparation s’améliore au fil du temps avec 2 progrès notables : l’introduction de la prise fractionnée qui a fait passer de 19% à 8% le taux de préparation insuffisante (p<10-2) entre 2008 et 2009, et en 2012 l’acquisition de la pompe de lavage qui a diminué encore ce taux de 12 à 7% (p<10-3) avec une amélioration du score moyen de Boston (Student p=0.017)
Sur 4 ans et avec 729 coloscopies effectuées par le même opérateur, la durée moyenne du retrait est passée de 3 :39 à 4 :29 (p<0.05) et le taux de polypectomie de 33% à 41% (p<0.001). Cette augmentation n’est pas liée une augmentation de la résection de polypes hyperplasiques.

Conclusion : L’évaluation continue des coloscopies sur base de données objective l’amélioration de la qualité des examens et la probable amélioration des critères de qualités des opérateurs participants.

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Endoscopie

TRAITEMENT ENDOSCOPIQUE DU DIVERTICULE DE ZENKER : a propos de 15 cas dans 2 centres hospitaliers généraux de ANGH

2012

JP ARPURT, RL VITTE, S BELLON, S BRAMLI, B COULIBALY,

Endoscopie –  2012-05-07 – CO –

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Le traitement du diverticule de Zenker est realisé de plus en plus frequemment par technique endoscopique digestive et devient une recommandation de prise en charge.
Nous rapportons une serie prospective de 15 cas realisés dans 2 CHG de ANGH ( 12 cas CH Avignon, 3 cas cas CH Poissy-St Germain). Tous les patients sont symptomatiques.
Nous presentons la technique utilisé ( film video) et les resultats avec un recul de plus de 6 mois et nous ferons une revue de la litterature sur cette approche therapeutique récente

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Endoscopie

Prise en charge par prothèses coliques, à visée curative ou palliative, des cancers coliques occlusifs. Etude rétrospective dans 5 centres hospitaliers généraux en 2009-2010.

2011

Vincent QUENTIN(1), Julien BAUDON(2), Ludivine FALIZE(3), Denis GRASSET(4), Gérard LEDREAU(5), Olivier NOUEL(1).
(1)Saint Brieuc (2) Cholet (3) Saint Malo (4) Vannes (5) Lorient

Endoscopie –  2011-05-10 – CO –

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Objectifs
L’objectif principal sera d’évaluer la pratique des prothèses coliques dans les centres hospitaliers généraux (CHG) en 2009-2010 par une étude descriptive simple (fréquence, performance, comparaisons à la littérature).
L’objectif secondaire sera de réaliser une étude comparative entre le groupe traitement endoscopique et traitement chirurgical. Cette comparaison intéressera notamment le sous groupe de la prise en charge palliative (survie, durée d’hospitalisation …) et celui de la prise en charge de pont vers la chirurgie (taux de succès de la stratégie, survie …)

Patients et méthodes
Dans un premier temps les patients inclus seront ceux ayant eu un code T2A de prothèse colique entre le 01/01/2009 et le 31/12/2010 afin de répondre à l’objectif principal. Dans un second temps tout patient hospitalisé pour occlusion tumorale colique sur la même période sera inclus (codes occlusion et cancer colique) afin de répondre aux objectifs secondaires.

Résultats
Environ 90 patients sont attendus dans le groupe prothèse colique. Le recueil de données est actuellement incomplet et aucun résultat ne sera vraisemblablement disponible avant le 15 mai.

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Endoscopie

Evaluation du rendement des coloscopies du programme national de dépistage du cancer colorectal par Hemoccult : validation multicentrique de nouveaux indicateurs et de leurs seuils.

2011

Bernard DENIS, Erik André SAULEAU, Patrick DELASALLE, Yvon FOLL, Jean François BRETAGNE, Catherine EXBRAYAT, Nassime TOUILLON, Denis CONSTANTINI, Isabelle GENDRE, Philippe PERRIN
ADECA Alsace, APREMAS 06, ADEC 29, ADECI 35, ODLC 38, ADEMAS 71, ADMC 91

Endoscopie –  2011-05-13 – CO –

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Le rendement de la coloscopie varie selon des critères liés au patient et à l’examen. Une importante variation de rendement inter-endoscopiste a été observée en Ille-et-Vilaine et en Alsace au sein du programme national de dépistage organisé (DO) du cancer colorectal (CCR) par Hemoccult. Dans un précédent travail, nous avons montré que le décompte des polypes pouvait remplacer celui des adénomes pour évaluer le rendement des coloscopies et avons proposé d’utiliser le nombre moyen de polypes (NMP) par coloscopie pour définir les endoscopistes «forts détecteurs » avec un seuil à 0.8. Par ailleurs nous avons montré une importante variation inter-endoscopiste de la proportion d’adénomes parmi les polypes (PAP) et avons proposé une fourchette de PAP de 60 à 80 %.
Le but de ce travail était (1) de confirmer à grande échelle la bonne corrélation entre indicateurs dénombrant polypes et adénomes et (2) de proposer des seuils pour les indicateurs retenus qui puissent être utilisés en routine dans une démarche d’amélioration continue de la qualité des coloscopies au sein du DO du CCR par Hemoccult.
Méthodes : Comparaison de 5 indicateurs évaluant les coloscopies réalisées pour Hemoccult positif dans le cadre du DO du CCR au sein de 8 départements pilotes de 2002 à 2011 : taux de détection des adénomes (TDA) et des polypes (TDP), nombre moyen d’adénomes (NMA) et de polypes (NMP) par coloscopie et PAP.
Résultats : Les résultats de cette étude seront présentés à Saint-Malo.